L’Afrique vient de perdre l’un de ses valeureux patriarches. Le plus grand polygame du continent a cassé sa pipe laissant derrière lui de nombreuses veuves et beaucoup d’orphelins inconsolables.
Le Kenyan Asantus Akuku, 91 ans, avait 130 femmes et près de 300 enfants. Mamamia… C’était le plus grand polygame d’Afrique. L’homme que tout le Kenya surnommait encore «Danger», était membre de l’ethnie Iuwo, la même que celle du père du président américain Barack Obama.
D’après le kongossa, presque aucune go n’arrivait à lui résister, d’ailleurs il s’en vantait de son vivant : «je suis comme un aimant magnétique !» Cependant, le papy avait aussi de son vivant un sacré caractère, il divorça de 85 de ses épouses qu’il avait accusées d’infidélité.
Du reste, l’ensemble des témoignages le présente comme un bon papa. Il prenait soin de tous ses enfants. Son premier fils, qui est un médecin, est âgé de 70 ans alors que sa cadette n’a pas encore 10 ans. Aussi, il a choisi personnellement le nom de chacun de ses enfants, il a d’ailleurs personnellement organisé l’enterrement de 55 d’entre eux et d’une trentaine d’épouses.
D’après le kongossa, presque aucune go n’arrivait à lui résister, d’ailleurs il s’en vantait de son vivant : «je suis comme un aimant magnétique !» Cependant, le papy avait aussi de son vivant un sacré caractère, il divorça de 85 de ses épouses qu’il avait accusées d’infidélité.
Du reste, l’ensemble des témoignages le présente comme un bon papa. Il prenait soin de tous ses enfants. Son premier fils, qui est un médecin, est âgé de 70 ans alors que sa cadette n’a pas encore 10 ans. Aussi, il a choisi personnellement le nom de chacun de ses enfants, il a d’ailleurs personnellement organisé l’enterrement de 55 d’entre eux et d’une trentaine d’épouses.
Riche propriétaire terrien, propriétaire de nombreux commerces au détail et de services de transport, agriculteur, Asantus Akuku était prospère. Le vieux polygame a été enterré près de l’église de «son village» qu’il avait lui-même construite, non loin des deux écoles qu’il finançait « pour assurer l’éducation de ses enfants ». Il a eu droit à de grandioses funérailles, en présence de personnalités nationales et locales et surtout de toutes ses épouses, actuelles et anciennes, de ses enfants, petits-enfants et arrières petits-enfants.
On estime sa descendance à environ 1500 personnes. C’était un patriarche véritablement respecté au Kenya malgré le fait que la polygamie y soit interdite. Certaines coutumes ont la peau dure…
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